Dictée du mois

Dictée avec 10 fautes

Juin 2023

L’âme du décor

Le Feng Shui existe depuis quatre à cinq milles ans. C’est l’art de décorer en créant l’ordre, l’équilibre et l’harmonie pour améliorer tous les aspects de notre vie, être bien dans notre environnement.

« Fengshuiser » son décor demande certains principes de base. La première chose à effectuer avant de débuter quoi que ce soit, est de faire le trie et l’ordre à l’intérieur de nos gardes-robes, tiroirs, placards, armoires et garage afin de ne conserver que ce qui nous est encore utile et en harmonie avec soit.  C’est ce que l’on appelle agir de façon défensive. On défend notre environnement en le néttoyant, énergiquement parlant, de tout ce qui peut dégager de la mauvaise énergie, soit par sa forme, sa couleur, son matérieau ou son symbolisme. En passant par les vêtements, la vaisselle, les objets décoratifs et les meubles, faites le tour de votre maison et prenez des notes sur ce qui ne vous convient plus ou ce qui est défectueux.

En Feng Shui, on doit s’entourer de choses qui nous font sourires. On donne ou on vend ce qui n’est plus en harmonie avec nous. Nous sentons comment l’énergie est plus légère lorsque nous venons d’éliminer ce qui produisait de l’énergie stagnante, de réparer tout ce qui était défectueux (poignésde portes, robinet qui fuit, ventilateur qui gronde, etc.), de jeter ce qui était brisé plutôt que de le recoller (vaisselle, verre, miroir, etc. ) et de soustraire de notre décor les éléments reliés à la tristesse, à l’agressivité, à la peur, à la violence et à la mort (branches mortes, fleurs séchées, bonsai, urne funéraire, épée, couteau, etc.). Faites de l’ordre, dépoussiérer et faites un nettoyage énergétique. S’il vous est impossible de respecter une règle, ne vous inquiétez pas, le Feng Shui parfait n’existe pas. Faites tout ce qui est possible et vous sentirez la différence positivement parlant.

Extrait du livre « L’âme du décor » de Johanne St-Martin

Vous êtes invités à corriger la dictée de juin et à retourner votre copie au 125, rue Principale, Granby QC, J2G 2T9 ou par courriel au centrealphahy@hotmail.com   Tél./téléc. Au 450 378-9788.     N’oubliez pas d’inclure vos coordonnées. 

Vous avez jusqu’au mardi, 13 juin pour nous faire parvenir votre dictée corrigée.  La dictée sans faute sera publiée exceptionnellement le mercredi, 14 juin, avec le nom des gagnants(es).

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     Dictée sans faute                                                                               Mai 2023

La différence entre les logements abordables et les logements sociaux

Je réagis toujours un peu négativement quand je lis ou entends des textes traitant des logements où sont accolés les deux adjectifs « abordables » et « sociaux ». Cette mise côte à côte de deux adjectifs, se référant à des réalités vraiment différentes risque, volontairement ou non, d’assimiler ces deux réalités, qui n’ont pas beaucoup en commun.

Ce que je comprends, c’est que, lorsqu’on parle de logement social, on dit que ce logis va coûter 25 % ou au plus 30 % du revenu de cette famille locataire. Cela correspond au pourcentage du revenu dévolu au logement. Aucun lien direct avec les fluctuations du marché.

Quand on parle de logement abordable, on signifie que ce logement est cédé à quelque 20 % en dessous de la moyenne des loyers présentés sur le marché locatif. On arrive ainsi à des aberrations comme la suivante : loyer pour 4 personnes, offert à 1750 $ et devenu supposément abordable à 1500 $. Vous connaissez beaucoup de familles à revenu de 40 000 $ dont les 30 % permettraient de s’offrir un logis à 1500 $ ? Tout au plus 1089 $. Le logement dit « abordable » fluctue en fonction du marché actuel et ne tient pas compte de la capacité de payer, de la famille au revenu faible.

Les gouvernements municipaux ou québécois semblent avoir intérêt à propager cette assimilation « abordable/social » ; ils réussissent ainsi à masquer leur manque d’attention aux cas croissants de familles aux prises avec le terrible problème du logement, pourtant un droit de la personne fondamental.                                 

  Source :  Normand Breault, Journal Le Devoir- mars 2023

Félicitations à tous les participants de la dictée mensuelle ! Nos gagnants pour le mois de mai sont : Madame Lucie Malenfant CFQ de Granby, Monsieur Rémi Meingan de Shefford et au CRIF, Monsieur Ahmed Fraj .  Les gagnants pourront choisir leur livre au Centre Alpha, situé au 125, rue Principale (sous-sol de l’église Ste-Famille). Un grand MERCI aux Chevaliers de Colomb, conseil 9842, pour leur généreux don d’argent, ainsi qu’à Buropro Citation pour une commandite de livres variés, à offrir à nos gagnants.

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Dictée avec 10 fautes                                                                                 Mai 2023

La différence entre les logements abordables et les logements sociaux

Je réagis toujours un peu négativement quand je lis ou entends des textes traitant des logements où sont accollés les deux adjectifs « abordables » et « sociaux ». Cette mise côte à côte de deux adjectifs, se référant à des réalités vraiment différentes risquent, volontairement ou non, d’assimiler ces deux réalités, qui n’ont pas beaucoup en commun.

Ce que je comprends, c’est que, lorsqu’on parle de logement social, on dis que ce logis va coûter 25 % ou au plus 30 % du revenu de cette famille locataire. Cela correspont au pourcentage du revenu dévolu au logement. Aucun lien direct avec les fluctuassions du marché.

Quand on parle de logement abordable, on signifie que ce logement est cédé à quelque 20 % en dessous de la moyenne des loyers présentés sur le marché locatif. On arrive ainsi à des aberrations comme la suivante : loyer pour 4 personnes, offert à 1750 $ et devenu suposément abordable à 1500 $. Vous connaissez beaucoup de familles à revenu de 40 000 $ dont les 30 % permettraient de s’offrir un logis à 1500 $ ? Tout au plus 1089 $. Le logement dit « abordable » fluctu en fonction du marché actuel et ne tient pas compte de la capacité de payer, de la famille au revenu faible.

Les gouvernements municipaux ou Québécois semblent avoir intérêt à propager cet assimilation « abordable/social » ; ils réussissent ainsi à masquer leur manque d’attention aux cas croissants de familles aux prises avec le terrible problème du logement, pourtant un droit de la personne fondamentale.

Source :  Normand Breault, Journal Le Devoir- mars 2023

Vous êtes invités à corriger la dictée de  mai et à retourner votre copie au 125, rue Principale, Granby QC, J2G 2T9 ou par courriel au centrealphahy@hotmail.com   Tél./téléc. Au 450 378-9788.     N’oubliez pas d’inclure vos coordonnées. 

Vous avez jusqu’au lundi,  29 mai pour nous faire parvenir votre dictée corrigée. 

La dictée sans faute sera publiée le dernier mercredi du mois avec le nom des gagnants(es).

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